Le virement et le prélèvement automatique sont deux modes de paiement différents. Le terme change en fonction de la personne qui prend l’initiative de transférer de l’argent. En ce qui concerne le paiement du loyer, quels sont les avantages des deux ?

Techniquement, quelles sont les différences ?

Ces deux événements visent à atteindre le même objectif : le transfert d’un compte à un agent de compte.

La différence réside toutefois dans l’initiation du paiement.

En cas de prélèvement automatique, le paiement est payé (avec l’accord du payeur) par la personne qui reçoit l’argent. Dans le cas d’un virement bancaire, la personne qui paie l’argent est une initiative d’action.

Choisir un virement bancaire, un vieux classique

Les visites sont terminées, le bail a été signé. Il ne reste plus qu’à attendre le transfert du locataire. Problème : cela peut parfois être un peu en retard… Comme c’est à l’initiative du locataire, le seul avantage, ce que présente le virement bancaire, c’est qu’il ne permet pas rétrospectivement tout litige.

Choisir un compte bancaire, une option plus sûre

Il va sans dire que la facturation bancaire automatisée présente l’avantage de réduire considérablement le risque de loyers impayés, de petites dérogations ou de retards de paiement par un locataire. Puisque le locataire planifie les paiements, le propriétaire s’assure que les fonds sont transférés mensuellement du compte bancaire du locataire au compte du propriétaire à temps.

Inconvénient unique : le locataire a la possibilité de poursuivre en justice pour prélèvement automatique qu’il ne signe pas directement auprès de son institution bancaire. En pratique, lorsque le propriétaire dispose d’une licence bancaire et d’un bail, le débit automatisé devient très difficile à contester.

Lorsqu’on lui présente la double vertu de la régularité et de la sécurité, il semble que le prélèvement automatique soit le plus logique mode de paiement.