Comment fonctionne une hypothèque légale ?
Alors que les banques utilisent des prêts hypothécaires classiques en relation avec des prêts hypothécaires, il existe d’autres prêts hypothécaires conçus pour protéger d’autres créanciers dans des situations particulières telles que les prêts hypothécaires légaux et les prêts hypothécaires légaux.
Les hypothèses juridiques sont celles qui découlent de la loi. Leur objectif est de protéger les créanciers (époux, personnes incapables, etc.) qui peuvent avoir besoin d’une protection spéciale. Ces créanciers peuvent exercer ce droit sans condamnation. Toutefois, pour être opposables à des tiers, ils doivent être enregistrés.
Inversement, les prêts hypothécaires sont le résultat d’une décision de justice.
Hypothèque légale
Hypothèque légale entre conjoints
Il existe trois prêts hypothécaires légaux entre conjoints. Dans un cas, les deux conjoints peuvent s’adresser au tribunal pour obtenir justice. À la place de son conjoint pour des actions de gestion ou de gestion conjointe en raison de son handicap ou de son opposition. Pour garantir un filet de sécurité au conjoint remplacé, le juge peut autoriser ce dernier à enregistrer une hypothèque sur certains actifs fixes de son conjoint.
Hypothèque légale inapte
Dans ce cas, les mineurs et les adultes sous garde ont une hypothèque légale sur la propriété de leur tuteur ou de leur administrateur légal. En conséquence, une personne incapable peut bénéficier d’un recouvrement de créances contre l’administrateur de ses biens, si nécessaire. C’est le conseil de famille ou le magistrat de tutelle qui est à l’initiative.
Droits spéciaux ou prêts hypothécaires légaux primaires pour l’immobilier
Ces hypothèses juridiques confèrent également à certains créanciers les mêmes droits que le système hypothécaire universel, comme dans les exemples suivants :
- Architectes et entrepreneurs : c’est la question de la construction pour garantir le paiement du travail.
- Syndicat de copropriétaires : en cas de provisions impayées ou de dépenses finales du copropriétaire, le syndicat d’actionnaires bénéficiera du paiement préférentiel.
- Vendeur fixe : une fois que ce dernier a donné du crédit à son acheteur, il détient un privilège sur la propriété.
Hypothèque
Ici, la situation en est une autre. C’est un créancier qui demande à un juge de l’exécution d’enregistrer l’hypothèse juridique du conservatoire sur un ou plusieurs des biens immobiliers du débiteur. Ainsi, si, à l’échéance, il n’est pas remboursé, il peut demander la saisie et la vente du bien.
Cette approche doit être urgente.
Le demandeur doit justifier :
- La réalité de la dette s’est réveillée.
- Et le risque immédiat de ne pas récupérer cette somme d’argent.
Le créancier doit présenter sa demande de place au juge de l’exécution, où demeure le débiteur. Il n’y a pas d’appel de débiteur ni de discussion.
Hypothèque légale temporaire
Sur la base de ses mandats, un juge peut rendre une ordonnance autorisant le créancier à enregistrer provisoirement son hypothèque, en précisant :
- Montant de la réclamation assurée,
- Le (s) bien (s) du débiteur en question. Limité à 3 ans, l’enregistrement hypothécaire préliminaire est renouvelé une fois.
- Le créancier dispose de 8 jours pour informer le débiteur de l’enregistrement de son hypothèque
- Le créancier doit également agir dans un délai d’un mois pour obtenir un titre exécutoire. Sinon, l’inscription ne sera pas valide
Une fois qu’il a la propriété exécutoire, le créancier peut rendre son hypothèque définitive en l’enregistrant auprès du Service de publicité foncière.
C’est ainsi que le créancier peut décider de vendre vente aux enchères forcée des biens attribués à payer. Mais pour éviter un rabais élevé, il peut être judicieux de conclure une vente à l’amiable.